La médecine holistique ou médecine globale repose sur 3 piliers :
- Considérer l’individu aussi bien sur le plan physique que sur le plan psycho émotionnel
- Considérer l’individu comme unique
- Déterminer systématiquement, si possible, l’origine des pathologies et appliquer un traitement causal doublé d’un traitement de fond
« Tout est lié et uni en un même tout, au point qu’il est facile de voir que Tout est Un »
Cette vérité s’applique à toutes choses et en particulier à toutes disciplines holistiques : homéopathie, acupuncture, ostéopathie, biorésonance (médecine quantique), massages, réflexologies, …
En effet, si l’on regarde de près, on se rend compte que ces différentes pratiques qui considèrent l’individu dans son ensemble sont elles‑mêmes suffisamment liées entre elles pour ne former plus qu’un seul concept : celui de « médecine holistique » et tendre ainsi vers l’unification des méthodes thérapeutiques.
Un praticien en bio énergie devra donc avoir une connaissance élargie sur les différentes techniques employées en médecine bio énergétique afin d’en faire une synthèse et d’exercer sa profession pleinement, le plus efficacement possible et d’orienter, bien entendu, si cela dépasse sa compétence, vers tel ou tel spécialiste.
Mais revenons aux 3 piliers de la médecine holistique et précisons certains points :
Tout le monde admet aujourd’hui que le psycho émotionnel peut être déterminant dans la genèse des maladies ou dans leurs guérisons. Nier cette évidence, c’est faire preuve d’une profonde méconnaissance de l’homme en général.
Un point plus contesté mais qui ne fait aucun doute, en tout cas pour les thérapeutes des médecines naturelles, est celui de considérer l’individu comme « unique ».
La conséquence de cette affirmation est qu’il est déraisonnable d’apporter des traitements identiques à des patients ayant une pathologie semblable. En effet, nous sommes tous distincts du point de vue physiologique, biochimique ou génétique. Les soins apportés seront personnalisés, les protocoles de traitement ne sont pas applicables dans ce cadre d’action.
En ce qui concerne le troisième point, déterminer la causalité est primordiale car les soins prodigués dépendront de l’origine du déséquilibre. Il sera toujours recherché, en outre, un traitement de fond c’est‑à‑dire un traitement permettant une modification du terrain pour se maintenir en bonne santé et éviter les rechutes fréquentes. Il va de soi que les soins symptomatiques ont également un intérêt incontestable mais dans des situations d’urgence.
Quelques mots sur le concept de « médecine quantique » :
La médecine quantique est une médecine holistique qui s’intéresse aux phénomènes biophysiques régissant la biologie. La médecine quantique est l’application des principes de physique quantique aux systèmes biologiques. Bien que controversé, comme toutes nouveautés, cette médecine bio énergétique a fait ses preuves avec des résultats encourageants aussi bien au niveau fondamental que thérapeutique. La médecine quantique regroupe plusieurs disciplines comme la biorésonance endogène, la biorésonance exogène ou encore l’homéopathie pour ce qui est des hautes dilutions. Il s’agit en un mot d’utiliser la bioénergie par des techniques utilisant la bioénergétique.
Les applications sont multiples :
Tout d’abord dans l’élaboration de diagnostiques causaux. Prenons un exemple simple : une douleur du genou droit.
Il se peut que les systèmes de détections quantiques ne décèlent rien à ce niveau anatomique. Or, si l’on analyse les données plus finement, on constate, par exemple, une inflammation au niveau de la zone lombaire et plus précisément localisée sur la troisième lombaire. La cause est identifiée : il s’agit d’une lésion ostéopathique de la troisième lombaire qu’il faut ajuster !
Autre possibilité : il se peut très bien que la zone lombaire soit elle aussi normale. On voit alors un hyperfonctionnement ou un hypofonctionnement du méridien vessie suivant les caractéristiques de la douleur. Là encore, la cause est précisée et du ressort de l’acupuncteur ou du thérapeute en biorésonance et non de l’ostéopathe.
La douleur du genou droit peut également survenir suite à un traumatisme psychique important. L’analyse indique alors une perturbation de l’équilibre psycho‑émotionnel. La solution est apportée par l’homéopathe avec la prescription, par exemple, de Arnica en 30 CH.
Nous voyons donc que pour une symptomatologie donnée existent plusieurs causes ; les différencier permet d’apporter une solution thérapeutique efficace. La biorésonance en analyse permet de le faire.
Chaque praticien peut utiliser ces appareils avec grande souplesse et en rapport avec sa spécialisation.
Ces systèmes sont également efficaces dans l’analyse du terrain. Ils révèlent les points forts et les points faibles du patient. En ce sens, ils sont prédictifs. Il est alors intéressant dans le cas d’une anomalie révélée de corriger la singularité afin d’éviter dans la mesure du possible que survienne éventuellement une pathologie.
Toutefois, trois remarques importantes :
- Ce ne sont que des outils pour le diagnostic, ils ne doivent pas remplacer le bon sens du thérapeute et modifier sa prise de décisions dans l’acte de soin qui doit tenir compte également de l’interrogatoire et du comportement du patient.
- Ce sont des outils d’analyse quantique ! Seule la première mesure où le différentiel entre deux mesures consécutives (suivant la technologie utilisée) sera à prendre en compte. En effet, lorsqu’une mesure est effectuée, l’équilibre du système biologique est perturbé. Il s’en suit une réaction de l’organisme qui peut faire barrage et fausser peut être les résultats de la deuxième mesure effectuée.
- Enfin, il faut savoir que dans certains cas, l’analyse peut être aveugle sur un des systèmes. Pour cette raison, il est indispensable d’utiliser des technologies différentes afin d’avoir une vue sous des angles différents et de localiser les anomalies éventuelles. D’une manière générale, lorsque le bilan est vierge, cela ne signifie pas pour autant que tout est normal. Par contre, lorsqu’il y a une ou plusieurs particularités qui se reproduisent à intervalles réguliers malgré les traitements, il est permis alors de se poser quelques questions sur la suite des évènements.